Lumière rasante de fin de journée d'été, chaude et intrusive, donne aux corps un état de beauté extatique consécutif à la fin temporaire de l'esprit lucide. La lumière jaillit et rend beau, juste entre la fin de la journée et le début de la nuit. Peu avant les chiens et les loups, sortent les sages et les chats. Ils traquent la lumière rassurante. Et les photons s'en vont mourir en dégradé bleu nuit, toujours dans le même Sens - Unique déclin des âmes électriques à l'énergie photographique sur-puissante. Les volets ne se sont pas fermés car la lumière devait continuer d'entrer, simplement continuer d'entrer, pour éclairer un point fixe de l'espace et du temps. Car la lumière écrit l'évident, ses faisceaux tissent la sphère complexe, combinant les particules d'origine et de fin dans une volonté échappant au commun. Le sage tend à le comprendre mais le chat, lui, voit dans la nuit. Alors dans le noir, il s'enfuit.